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conseiller en gestion de patrimoine indépendant

Le rôle des CGPI

Le rôle des CGPI 960 640 Arias Patrimoine

Le rôle des Conseil en Gestion de Patrimoine Indépendant – CGPI : Les généralistes des dirigeants d’entreprise !

Dans la continuité de l’article où les Experts-comptables transposent leurs professions au milieu médical et se comparent à des pharmaciens fortement diplômés qui donnent du conseil dans leurs spécialités et vendent du service, j’ai souhaité aboutir la réflexion en attribuant un rôle adapté à la mission des CGPI.

Ainsi dans le prolongement du syllogisme, le Conseiller en Gestion de Patrimoine serait le médecin généraliste du Chef d’entreprise, imaginé en patient.

En généraliste expert et qualifié il a en effet pour mission de réaliser de vraies prescriptions que chacun des partenaires du patient auront la mission d’administrer.

Pour se faire son rôle principal est de poser un diagnostic, le plus précis possible, et de renvoyer le patient entrepreneurs vers son expert-comptable, son banquier et/ou le cas échéant d’organiser un rendez-vous avec un notaire ou avocat pour étudier la possibilité d’opérer ou pas.

Ainsi l’on retrouve, les notaires et avocats qui seraient quant à eux, les véritables Chirurgiens de l’entreprise et nos chers Banquiers, les donneurs de sang, d’oxygène ou tout autres produits capable de rester en vie.

L’assureur quant à lui serait plutôt le professionnel des médecines douces que l’on paye par avance en espérant n’avoir jamais recours à leurs services

Les Conseillers en Gestion de Patrimoine écoutent, analysent, évaluent, établissent un diagnostic et prescrivent des recommandations en s’attachant à avoir une vision globale de la situation personnelle et professionnelle du dirigeant d’entreprise.

Ils assurent le suivi dans la durée sans rompre la chaîne des professionnels qui entourent le chef d’entreprise, et en s’assurant du transfert interdisciplinaire des données les concernant.

Les CGPI sont des points d’entrées et des facilitateurs des relations avec les autres professionnels

Ils consacrent le temps nécessaire à chaque situation, adoptent une méthode transparente et indépendante des autres professionnels.

Bon à rappeler, le chirurgien sans diagnostic préalable et analyse, ne peut pas opérer ; le pharmacien à qui vous avez seulement évoqué un mal être et caché quelques informations personnelles, ne peut vous aider pleinement ; l’Auto médication ou le changement de sang soulage mais ne soigne pas ; Et les médecines douces, doivent être réalisées par un thérapeute de confiance …

Je vous invite donc à rencontrer un de nos conseillers en gestion de patrimoine dès que vous le souhaitez !

L’inter-professionnalité et la réunion des compétences est l unique moyen de se porter au mieux.

réussir la vente de son entreprise

Nos 7 Conseils pour Réussir la Vente de votre Entreprise

Nos 7 Conseils pour Réussir la Vente de votre Entreprise 960 639 Arias Patrimoine

La vente de votre entreprise est une étape importante ! Elle concrétise l’ensemble de vos efforts capitalisés à la création de valeur.

Votre projet peut s’envisager par la vente du fonds de commerce ou de vos titres de participations. Nous n’envisagerons dans le présent article que la cession de titres.

La cession de vos titres donne lieu par principe à l’imposition d’une plus-value. Cependant, de nombreux mécanismes d’exonération ou de report existent. Chaque situation est unique et nécessite un conseil engagé et inter-professionnel.

Nous voulons dès aujourd’hui vous apporter quelques conseils pratiques à la réussite de votre projet de vente d’entreprise.

Pourquoi je vends ?

Définissez vos priorités. L’argent ne sera probablement pas la seule motivation de l’opération.

Clarifier vos objectifs vous permettront de définir vos projets pour l’après-cession. Partir à la retraite, vendre à un tiers, à ses salariés, transmettre à ses enfants … détermineront les indicateurs qui vous permettront de choisir le chemin le plus efficace.

De nombreux paramètres vous feront bien vivre votre départ et l’arrivée de vos repreneurs.

Tout objectif flou conduit irrémédiablement à une connerie précise

Combien vaut mon entreprise ?

La préparation de la cession de titres nécessite une valorisation. Cette valorisation peut être alternative et être déterminée avec et sans les excédents de trésorerie non nécessaire à l’activité …

Il existe de nombreuses méthodes de valorisation possibles pour évaluer le prix de cession de votre entreprise toutefois gardez à l’esprit que le mieux reste bien évidement d’être au plus juste de la loi de l’offre et la demande et obtenir des propositions d’achats que votre propre banquier serait prêt à financer.

Quelle fiscalité vais-je supporter ?

Lors de la cession, les titres acquis ou souscrit avant le 1 er janvier 2018 bénéficient par principe d’un abattement pour durée de détention.

Cet abattement permet de réduire la base imposable soumise à votre impôt sur le revenu, toutefois les prélèvements sociaux ne sont pas concernés par l’abattement pour durée de détention.

Il convient par ailleurs de ne pas oublier la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, qui elle non plus ne bénéficie pas d’abattements pour durée de détention.

Alors quelles sont les stratégies efficaces ?

La technique de la donation avant cession peut permettre de préparer l’opération, ou encore celle de l’apport cession à une holding, voir la mise en place d’un Family Buy Out, conservent bien des intérêts.

D’une manière générale, il conviendra de s’interroger dans le cas d’une détention au travers d’un holding, si la cession doit être réalisée par le haut, via la cession des titres du holding, ou par le bas, via la cession des titres de la société d’exploitation.

Nos conseils pratiques …

  1. Tenez compte de vos besoins et vos projets futurs !
  2. Comparez entre la vente du fonds ou de vos titres
  3. Recherchez les différents dispositifs d’exonération partielle ou totale de plus-value
  4. Soyez vigilant dans la chronologie des opérations
  5. Anticipez et préparez votre projet au moins 3 ans avant
  6. Misez sur l’inter-professionnalité en réunissant votre notaire ou avocat, votre expert-comptable et votre CGPI autour d’une table
  7. Conservez toujours à l’esprit LA NOTION D’ABUS DE DROITélargie par la loi de finance 2019

Plan d’action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises

Plan d’action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises 960 639 Arias Patrimoine

La simplification des seuils applicables aux petites et moyennes entreprises

Le Gouvernement entend tout d’abord modifier les seuils d’effectifs déclenchant des obligations en termes de fiscalité et autres cotisations sociales, jugeant que ces derniers constituent un frein à l’embauche dans ce type d’entreprises. Ainsi, seuls les seuils de 11, 50 et 250 salariés seront conservés, et les obligations correspondantes seront effectuées lorsque ces seuils sont franchis par une entreprise pendant cinq années consécutives.

En outre, seront également modifiés les seuils à partir desquels les sociétés doivent nommer un commissaire aux comptes pour faire certifier leur bilan. Ainsi, l’obligation de certification des comptes pèsera seulement sur les entreprises dont le chiffre d’affaires hors taxes est supérieur ou égal à 8 millions d’euros et dont l’effectif est au moins égal à 50 personnes.

La suppression du forfait social sur l’intéressement et la participation

Dans une démarche d’encouragement des accords d’intéressement au sein des PME, la suppression du forfait social sur l’intéressement pour les entreprises de moins de 250 salariés est envisagée. Jusqu’alors, les entreprises devaient s’acquitter d’une contribution sociale à hauteur de 20 % du montant des sommes versées au titre de l’intéressement ou de la participation.

Par cette suppression, il s’agira plus précisément d’intégrer davantage les salariés à la réussite potentielle de leur entreprise, en leur permettant de toucher les fruits de leurs efforts selon les mots de Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, qui réaffirme ainsi son ambition de replacer les entreprises au cœur de la société.

La modification de la définition de l’entreprise pour une plus grande considération de son rôle social et environnemental

Afin de mettre l’accent sur les enjeux liés à la question de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), une modification des articles 1833 et 1835 du code civil est prévue. Plus précisément, seraient introduites au sein de l’article 1833, pour toute société, l’obligation de respecter l’intérêt social et la nécessité de prendre en compte les problématiques sociales et environnementales résultant de son activité. Quant à l’article 1835, il serait modifié en vue d’offrir la possibilité à toute société d’inscrire dans ses statuts sa raison d’être.

La simplification des formalités liées à la création, la liquidation et la transmission d’entreprise

Le projet de loi PACTE introduit plusieurs mesures destinées à faciliter les formalités devant être réalisées par les entreprises tout au long de leur vie, parmi lesquelles :

  • La mise en place d’une plateforme unique pour la création d’entreprise, venant notamment se substituer au recours aux Centres de Formalités des Entreprises (CFE) ;
  • Le caractère optionnel du stage de préparation à l’installation pour les entreprises artisanales, qui ajoutait jusqu’alors une charge financière lors de la création d’entreprises de ce type ;
  • La normalisation de la liquidation judiciaire dite « simplifiée » pour les entreprises de moins de cinq salariés réalisant moins de 750 000 euros de chiffres d’affaires. Cette procédure, plus courte, est en effet pour l’instant réservée aux entreprises n’employant pas plus d’un salarié ;
  • La simplification du recours à la procédure de rétablissement professionnel afin de favoriser le rebond des entrepreneurs ayant connu un premier échec, et ce en leur permettant de bénéficier d’un effacement de dettes ;
  • L’assouplissement du pacte Dutreil en vue d’accroître le bénéfice de l’avantage fiscal apporté par ce dispositif ;
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